A 10 kilomètres des côtes tanzaniennes, l’île de Zanzibar est une destination incontournable de l’Océan Indien. Des plages, des palmiers, des réserves naturelles d’une richesse unique… Une histoire à découvrir, qui débute au XIIème siècle, au hasard des pérégrinations arabes et portugaises. Voici une ville multicolore déclinant tourisme balnéaire, tourisme écologique et tourisme culturel.
Le tourisme balnéaire
Partir à Zanzibar, c’est avant tout partir vers un lieu de villégiature agréable, placé sous le signe du dépaysement et du soleil. Les touristes y viennent pour se prélasser sur des plages paradisiaques, bordées d’une rangée de palmiers et d’acacias parasols. Fidèle à sa vocation maritime, l’archipel de Zanzibar saura combler les adeptes de sports nautiques : catamaran, kitesurf, ou planche à voile… Outre les plaisirs de la baignade, Zanzibar vous séduira par la grande beauté de ses fonds marins. La balade sous-marine promet d’innombrables curiosités : algues, coraux, poissons aux nageoires multicolores, sans oublier le fameux dugong…
Le tourisme vert
L’abondance et l’attraction des sites naturels, tels que la forêt de Jozani, l’île privée de Chipwani ou l’île de Misali, ont fait la réputation de Zanzibar. Lieu d’excursion privilégié, l’îlot de Misali est peuplé d’une avifaune très riche, de primates et de tortues marines. Depuis 1998, il a reçu le statut d’aire protégée pour sa diversité biologique impressionnante. Bordé de plages de sable blanc, l’archipel de Songo Songo procure de délicieux moments d’évasion au cœur d’un écosystème spectaculaire. Aux alentours affluent des infrastructure d’hébergement luxueuses comme bars, bungalows et
hôtels de classe internationale.
Le tourisme culturel
Les amateurs d’histoire et de culture ne seront pas laissés pour compte en passant leurs vacances à Zanzibar. A travers les musées et les demeures construites au style architectural de l’Inde ou de la Perse, l’île a préservé jalousement les traces de ses origines. Ainsi, la capitale Stone Town défile des maisons de marchands aux portes en fer forgé, ornées de pic ou de fleurs de lotus. La visite conduit inévitablement à revivre le siècle d’or de la civilisation zanzibarite, au temps où l’île tomba entre les mains des Perses. A cet effet, le détour dans les Palais omanais et dans le marché aux esclaves, est vivement recommandé. Ne manquez pas aussi de passer par la chapelle anglicane, bâtie à l’emplacement du marché, après que ce trafic humain a été aboli. Le Sultanat a cédé le terrain au révérend père Arthur West et a fait offrande d’une horloge pour la nouvelle église qui fut achevée en 1880.
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